La présentation du Pevaryl
Le médicament Pevaryl ne nécessite pas une prescription médicale stricte afin de pouvoir s’en procurer, pour autant, il est malgré tout remboursé par la sécurité sociale qui le prend en charge, en termes de remboursement, à 30%, tandis que le prix du médicament s’élève à 5,51 euros. C’est un traitement que vous allez appliquer deux fois par jour de façon ultra régulière jusqu’à disparition complète des lésions que vous souhaitiez traiter. Pour l’utiliser au mieux, vous devez appliquer cette crème sur toutes les parties concernées, et masser le tout en douceur jusqu’à ce que la crème ait complètement pénétré votre peau. Il y a des indications précises selon le type de plaies concernées, indication que vous donneront précieusement votre médecin traitant et/ou votre pharmacien.
Les indications du Pevaryl
Avec ce médicament, on soigne généralement tout ce qui touche de près ou de loin à des intertrigos, mais ce qui est aussi plus précis, comme des intertrigos génito-cruraux ou encore anaux ou périanaux. Mais c’est également un soin auquel on peut recourir en cas de vulvite, de perlèche ou de balanite. Parfois, il peut être nécessaire d’utiliser dans un même temps un traitement pour votre tube digestif, mais c’est au médecin d’en décider.
De façon ponctuelle, on peut aussi utiliser ce traitement contre les périonyxis ou les onyxis.
La composition du Pevaryl
Dans le Pevaryl, vous retrouverez de l’éthanol, mais aussi du trométamol et du Propylèneglycol.
Les précautions face au Pevaryl
Il est rare d’observer le développement d’effets secondaires à même la peau suite à l’utilisation de cette crème médicamenteuse, malgré tout, vous devez rester vigilant, notamment si la surface de peau traitée est importante, si la peau est abîmée, ou lésée, ou encore si vous utilisez ce traitement sur un nourrisson.
Parfois cela peut se traduire par l’apparition de différentes brulûres, ou encore, par des sensations de chaleur, de picotement, d’échauffement. Il est également possible qu’une forme d’eczéma se développe, mais, une fois encore, toutes ces manifestations d’effets secondaires sont, avec ce traitement très rares et n’entraînent quasiment jamais de nécessité de mettre fin au traitement sans préavis.