J’ai attrapé un coup de soleil, un coup d’amour, un coup de je t’aime, comme nous le raconte inlassablement cette chanson. Pourtant nous n’aimons pas les coups de soleil. Beaucoup de personnes, chaque année, rentrent de vacances avec des coups de soleil plus ou moins étendus, plus ou moins douloureux, sur des parties du corps plus ou moins originales. Beaucoup n’y font presque plus attention d’ailleurs, puisque beaucoup de personnes attendent que ces coups de soleil disparaissent avec impatience. On l’a tous dit ou entendu au moins une fois : « Non mais après, ça devient du bronzage !». Certes c’est vrai, mais il serait temps de faire une petite piqûre de rappel sur tous les dangers que représente un coup de soleil, et dont on a un peu trop souvent tendance à faire totalement abstraction.
Les coups de soleil, ces malfrats
Pourquoi les coups de soleil ne sont pas anodins
Nous allons simplement commencer par réfléchir ensemble à la question. Les coups de soleil sont des brûlures, autrement dit, ce n’est pas anodin. Car oui, il y a différents degrés de brûlures et les coups de soleil n’échappent pas à la règle.
Premier degré : votre coup de soleil n’est rien d’autre qu’une grande plaque rouge qui fait mal, estimez-vous heureux.
Deuxième degré : ah tiens, ce sont des cloques que je vois là ?
Troisième degré : disons adieu à votre derme et à votre épiderme.
Quoi qu’il en soit, si vous attrapez un coup de soleil et que dans un même temps vous souffrez de vertiges ou de problèmes de vision, vous ne devez pas hésiter une seule seconde et aller d’urgence consulter un médecin.
L’accumulation des coups de soleil
Sachez qu’accumuler les coups de soleil d’année en année est très mauvais pour la peau qui se fragilise chaque fois un peu plus, et vieillit par la même plus rapidement.
Si seulement le vieillissement de la peau était le seul danger… mais malheureusement fragilisée, la peau peut beaucoup plus facilement laisser entrer dans votre organisme un cancer de la peau. Et là, on se dit toujours qu’un petit coup de soleil par ci par là, ce n’est rien du tout ?
