Chez Peau.net, nous avons décidé d’accorder un zoom à de nombreux régimes afin de permettre à nos lecteurs de trouver le régime qui leur conviendra le mieux, et surtout afin d’éviter le recours à des régimes populaires et pourtant la plupart du temps très mauvais pour l’organisme. Il est essentiel de garder à l’esprit qu’une perte de poids saine est une perte de poids progressive, et que vous ne devez surtout pas perdre plus de trois kilos par mois, si vous n’avez pas envie de souffrir quelques semaines plus tard de ce fameux effet yoyo dont tout le monde parle. Et comme nous abordons les différents régimes, nous estimons qu’il est temps de parler du régime Miami, en vous expliquant les grandes lignes et les principes fondamentaux de ce régime pour vous permettre de décider si oui ou non c’est un régime qui pourrait vous plaire et que vous pourriez avoir envie de tenter.
Zoom sur le régime Miami
Les grandes lignes de ce régime
Alors que l’on pourrait espérer un peu e nouveauté et d’innovation, il n’en est rien, ou alors tellement peu que cela se remarque à peine. En effet le régime Miami est un régime qui, comme Dukan notamment, va booster votre apport en protéines pendant un temps, obligeant votre corps à se débrouiller sans l’apport, pourtant essentiel, de glucides et de lipides. L’idée est simple, vous allez devoir apprendre à faire un tri entre les graisses qui ne seront pas mauvaises pour votre poids, et les autres.
Pour cela, ce régime Miami part du principe que la qualité est l’élément clef à observer, pas nécessairement la quantité. En vous blindant de protéines, ce régime vous permet de procurer à votre corps un minimum de calories sans pour autant vous faire souffrir de la faim. Evidemment, cela a donc quelques aspects positifs : on perd du poids rapidement, on ne perd pas de muscle pour autant, et on apprend petit à petit à se sevrer du sucre. Bref, l’alimentation change et s’assainit dans une certaine mesure. Cependant, cela reste un régime très sévère, qui chez certaines personnes peut causer de grandes carences, et qui surtout n’est pas idéal si l’on est contraint de temps en temps de ne pas manger chez soi.
